Chez Kiki, treize ans, on est sorcière de mère en fille. Mais pour avoir droit à ce titre, il faut subir une épreuve initiatique. Kiki doit quitter les siens pendant un an et leur prouver qu’elle peut vivre en toute indépendance dans une ville de son choix. Un beau soir, accompagnée de son chat Jiji, après avoir embrassé ses parents et sa grand-mère, elle enfourche son balai et met le cap vers le sud «pour voir la mer». Le lendemain, elle atterrit dans une sympathique ville côtière. C’est là qu’elle fera son apprentissage, grâce à Osono, une gentille boulangère qui lui propose un emploi de livreuse.
Analyse du film : Kiki, la petite sorcière.
Olivier J.H. Kosinski - 14 mars 2014 à 8 h 00
Archivé dans Analyses